– Les Mexicains ont des têtes de Mexicains. Euh… comme dans Lucky Luke 🙂
– C’est incroyable comme la ville bouillonne de vie. Des commerces partout, tout petits. Les gens ont l’air très débrouillards pour se faire un peu d’argent. Ici, un restaurant peut tenir sur un mètre carré. Une vieille dame peut faire des tacos, et les y vendre aux passants, et ça marchera à coup sûr. Avec un mètre carré, on peut aussi ouvrir un WC (y en a à chaque coin de rue, la tourista doit faire les affaires des Mexicains !). Des tas de vendeurs ambulants, d’échoppes d’artisanat, et de commerces habituels en tous genres. Des petits établissement, mais qui ont tous l’air de fonctionner du tonnerre. Il y a même des magasins devant lesquels il y a une espèce de présentateur, avec un micro, qui passe la journée à vanter l’établissement!
– Même dans les rames du métro, des marchands ambulants se promènent avec un stock d’un seul produit, des éponges ou des lampes de poche, par exemple, et les vendent pour un prix dérisoire. Ils font leur pub en criant. Ou alors, des aveugles, qui vendent un CD dont ils diffusent la musique avec un poste calé dans leur sac à dos. Ils avancent à tâtons parmi les passagers.
Et tout cela marche. Ils ne se font sûrement pas beaucoup de bénéfice à l’unité, mais ils vendent beaucoup.
– Beaucoup de très petits enfants vendent aussi dans le métro ou en rue. Ils ont souvent un panier de chocolats et de bonbons. Ils souvent par deux, et ils ont parfois à peine huit ou neuf ans, avec un petit frère ou une petite soeur !
– Les Mexicains adorent les reprises de musique. Partout, tout le temps, on entend des tubes réinterprétés en espagnol, ou “Let it be” au violon, ou encore la version reggae de “Titanic”.
– Une première pour moi: je me sens trop grand. Dans la foule, je dépasse un peu. Dans les galeries commerçantes avec des articles suspendus partout, je dois marcher la tête penchée.
– on peut acheter des cigarettes à la pièce chez le marchand de journaux. Un paquet de chaque marque est ouvert, on se sert, et on donne une pièce au marchand.
– Mais on voit très peu de gens fumer.
Moeder | octobre 29, 2008 @ 3:07
Spijtig! Je moest de sterren van zijn schoenen niet laten zien.