Une journée à l’auberge

Je me suis incrusté à l’auberge de jeunesse de Calgary pout finir mon montage, Hostelling International étant un partenaire de Müvmédia (c’est très agréable d’être reconnu et aidé à l’improviste, loin de Montréal !). Je suis tellement en retard que finalement, j’y reste loger.

A la fin de la journée, Julie (productrice de Müvmédia) me demande en tchat où j’en suis. Je lui dis que je commence l’envoi. « Heureusement qu’il y a les cartes retard, répond-elle. Essaie de ne pas les utiliser dès le début ». Arg ! Comment faut-il interpréter ça ? Que je viens de perdre la première (on a droit à deux fois douze heures de retard sur les trois mois) ? Ou que je dois faire attention ? Je n’ose pas lui demander, de peur qu’une mauvaise nouvelle me flanque un coup au moral, surtout après les douze heures que je viens de passer devant l’écran. On verra bien. David avait dit qu’ils n’étaient pas à deux heures près, je pense. J’en suis à trois…

Je suis allé à mauvaise école pour le respect des horaires: chez les Flamands, très laxistes à ce niveau-là. J’avais perdu l’habitude des dead lines à respecter pour de vrai.

Pierre, ton ancien prof | septembre 2, 2008 @ 16:46
Deadlines. Et pourtant, nous y avons travaillé.

Julie | septembre 3, 2008 @ 9:28
Ah… cher Jean-Baptiste! Oui, il était 21h30, heure de Montréal lorsqu’on s’est parlés, mais tu commençais à envoyer ton film… or, je l’ai reçu à 2 heures du mat…
Bien essayé quand même…!
Sans rancune
;-)